Organigramme

L’équipe de l’IAPI :

Roxane Vidalon
Directrice de l’IAPI

Artiste Philosophale, Chercheure en Art Philosophique et Invisuel. Actuellement, elle poursuit un Master en Recherche Esthétique (Philosophie et Psychanalyse de l’art) à l’Université de Montpellier (France). Diplômée de l’École nationale d’art de Paris (ENDA), elle y propose l’ouverture d’une Ligne de Recherche et d’Expérimentation (LDRE) « Socle théorique et philosophique de l’art invisuel ». Auparavant, elle a enseigné la danse contemporaine au Conservatoire de Tarbes (France), avant de se tourner dès 2016 vers les arts visuels (dont le tatouage, et l’illustration). En 2018, elle s’engage pleinement dans les arts plastiques, approfondissant ses recherches et continuant à nourrir une réflexion philosophique. Sa démarche l’avait déjà amenée à entreprendre une licence en philosophie (en 2013) dans le but de fusionner pratique artistique et réflexion philosophique. En 2023, Roxane Vidalon décide de mettre de côté la production d’œuvres d’art pour se consacrer à une étude approfondie de l’art, de la matière et de son abstraction. En mars 2024, elle fonde l’Institut d’Art Philosophique et Invisuel (IAPI), dont le lancement public aura lieu la même année. Son dernier article, L’Œufre au Rose, a été publié dans la Revue de Paris (N°54) en février 2024. Sa plus récente conférence sur l’art invisuel, intitulée L’art est-il faux ? L’art invisuel comme réponse, s’est tenue en juillet 2024, lors de la Semaine des Arts de Soueich (Haute-Garonne, Occitanie, France). Récemment, un article mentionnant le travail de l’artiste, Roxane Vidalon, l’art invisuel pour repousser les limites, par Stéphane Boularand, a été publié dans La Dépêche en mai 2024.

Alexandre Gurita
Collaborateur en pédagogie et en art invisuel

Artiste. Directeur de la Biennale de Paris et de l’ENDA (École nationale d’art de Paris).
Il est à l’origine de la notion d’art invisuel qui définit un genre d’art existant autrement que sous forme d’œuvre d’art. L’art invisuel opère un changement de paradigme depuis la Renaissance en considérant que l’œuvre d’art n’est qu’un format parmi d’autres et non pas le seul possible. L’art invisuel se constitue comme une perspective risquée mais crédible pour l’art du XXIe siècle et après. L’artiste explore des axes tels que la « captation institutionnelle », « l’institution critique », « l’économie transversale », « la multimodalité », « la stratégie de l’eau », « l’asymétrie », « la macrocritique ». Alexandre Gurita travaille activement avec d’autres professionnels pour faire valoir une nouvelle vision de l’art, libérée des croyances limitantes héritées du passé. L’artiste considère le système de l’art comme un matériel de travail. En se libérant du monopole de l’art visuel sur l’art et de la certitude apparente affirmant que si l’art n’est pas visuel il n’existe pas, l’art invisuel relativise la notion d’art. Il a donné des conférences et mené des ateliers au Guggenheim Museum de Bilbao, Yale University, Apexart, Queens Museum of Art, School of Visual Art (SVA), Académie Libanaise des Beaux-Arts (ALBA), Grand Palais, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Palais de Tokyo et Paris 1 Sorbonne. Citations d’Alexandre Gurita : « L’art c’est l’art de l’art. », « L’art est le raccourci entre l’impossible et l’essentiel. », « Nous n’avons aucune preuve sérieuse que l’art est dépendant de l’œuvre d’art et pour cette raison nous pouvons supposer le contraire. », « Penser l’art est dangereux, être pensé par lui s’avère fatal. ».