Fonctionnement

A qui s’adresse l’IAPI ?

Chercheur.e.s, théoricien.ne.s, artistes invisuel.le.s, praticien.ne.s en philosophie, esthétique, art, physique quantique, complexe, noétique, neurobiologie ou toute autre discipline.
Le parcours et la singularité de chacun détermine le prisme de sa recherche et de son art. L’IAPI fonctionne sur un mode de porosité transdisciplinaire et de pédagogie transversale (pas de verticalité dans la transmission des savoirs ni de cloisonnement)

Catégories de personnes qui peuvent intégrer l’IAPI :

  • Les chercheurs (qui peuvent être artistes invisuels, théoriciens, scientifiques, philosophes, psychanalystes, etc…)
  • Les transmetteurs (chercheurs, théoriciens ou artistes souhaitant transmettre leurs recherches et trouvailles)
  • Les receveurs (individus souhaitant acquérir de nouvelles connaissances et déconstruire certains concepts)
  • Les expérimentateurs (individus souhaitant mettre en application ou expérimenter les propositions faites au sein de l’IAPI)
  • Les communs (les publics, ils sont neutres et novices en matière d’art philosophique et invisuel) Le terme de public désigne toute personne qui aura l’occasion de prendre connaissance des notions abordées au sein de l’IAPI lors de « mises à disposition » via les interventions d’Eugène, conférences, publications, ateliers….

Les rôles sont interchangeables. Les chercheurs peuvent être transmetteurs receveurs ou expérimentateurs ou inversement.

Quelles formes et quels espaces ?

L’IAPI se compose :

D’espaces de travail individuels ou en équipe (l’IAPI peut accueillir la recherche ou le projet d’une seule personne comme d’un groupe, le groupe peut également se dessiner au fil des travaux) par département de recherche et laboratoires. L’IAPI propose de pouvoir collaborer, chercher, travailler ou apprendre en présentiel ou à distance (via Zoom ou Google Meet).

D’un corps pédagogique dédié à la transmission des contenus et notions issues des recherches et expérimentations de l’IAPI afin d’ouvrir de larges perspectives d’avenir pour l’art, ses acteurs et ses publics. Les modules de transmission dispensés sont basés sur un partage d’interrogations, de recherches, non comme un énoncé magistral, une liste de savoirs. L’idée serait de transmettre les recherches en cours, les plus actualisées possibles et les raisons ou les circuits qui ont menés à ces réflexions, trouvailles, réveils. Cela passe donc par le partage de références, de corpus, d’informations, etc… afin de pouvoir transmettre un art et une recherche en train de se faire et non pas avec le décalage temporel habituel (comme on peut le voir actuellement en histoire de l’art, techniques, rétrospectives, etc…)

La documentation occupe une place essentielle au sein de l’IAPI. La collecte et le stockage de données ainsi que le référencement, les bibliothèques et médiathèques y occupent un rôle et un espace importants.

Des espaces dédiés aux résidences de recherches et de pratiques invisuelles. Ces espaces sont matérialisés ou dématérialisés en fonction des conditions nécessaires à la résidence.